La douleur chronique, qui touche 19 % des adultes en Europe (1), peut être invalidante et avoir des conséquences dévastatrices au niveau so- cial, psychologique et financier. Mais saviez-vous que c’est avant tout votre cerveau qui décide ? Car on peut souffrir, qu’il y ait lésion ou non ! Rassurez-vous, inutile de devenir moine Shaolin pour apprendre à la réguler. Il suffit d’apprendre l’une de ces techniques approuvées par les re- cherches en neurosciences... Helen était régulièrement alitée en raison de douleurs chroniques du dos. Mais diagnostic à l’appui, elle ne souffrait d’aucune lésion(2) ! Imaginez combien de per- sonnes de son entourage ont douté de sa sincérité... Le Pr John Sarno lui a permis de comprendre que la dou- leur n’était qu’un signal d’alarme que son corps déclen- chait pour se protéger. Grâce à une thérapie de l’esprit conduite par ce professeur, elle a pu y remédier. Mais alors, comment expliquer qu’Helen souffrait de douleurs chroniques du dos sans raison apparente, alors qu’Henry Beecher, l’un des premiers à avoir étudié la douleur, constatait que des soldats grièvement blessés durant la Seconde Guerre mondiale souffraient peu voire pas du tout de leurs blessures3 ? 1. Breivik H., Collet B., Ventafridda V., et al. Survey of chronic pain in Europe: Prevalence, impact on daily life, and treatment. European journal of pain 2006. 10(4):287-333 2. Cas décrit dans le livre du Pr Sarno (Professeur de médecine orthopédique et rééducation à l’université de New York) : Le meilleur anti-douleur, c’est votre cerveau. Éditions Thierry Souccar (2016) Pour lire la suite de cet article, je vous invite à vous abonner à cette revue à presque rien, compte tenu la qualité de son contenu :
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